Que se cache-t-il derrière l’appellation « spiritueux sans alcool » ? Peut-on légalement nommer un produit « gin sans alcool », par exemple ? Quelles sont les règles en la matière ?
C’est ce qu’on essaie d’éclaircir dans ce nouvel épisode avec l’avis plutôt tranché de Fred : les produits « spirit free » sont-ils si novateurs qu’on le prétend ou s’agit-il surtout d’un coup marketing pour surfer sur la tendance « sober curious » ? Et surtout, valent-ils vraiment leur prix ?
Nous voyons également quelques exemples de bonnes pratiques en la matière ainsi que des alternatives pour passer un Dry January sans encombre (et sans forcément se ruiner ^^).
🧵 Pour aller plus loin, les précédentes tribunes de Fred sur le sujet :
💪 Et quelques liens annexes :